CONTRE VENTS ET MARÉES

NOUS DÉFENDONS L'AGRÉGATION


La lettre-pétition publiée sur le présent site a été adressée en date du 12 décembre 2013 à Monsieur Vincent PEILLON, Ministre de l'Éducation nationale, par cinq lauréats du concours de l'agrégation pour dénoncer un plan de refonte du concours externe de l'agrégation, pour dénoncer l'attaque lancée contre les statuts et contre les obligations réglementaires de service par la remise en cause des décrets de 1950 au titre de la réforme dite «du métier enseignant», pour dénoncer la territorialisation de l'éducation.

Après la présentation officielle devant le CTM du 27 mars 2014 du projet de décret correspondant à la réforme dite du « métier enseignant », une lettre de réitération a été adressée à Monsieur Benoît HAMON, Ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, pour renouveler auprès de lui, en tous ses termes, la lettre-pétition adressée à son prédécesseur, et pour lui demander notamment, considérant l'urgence, de ne pas publier le nouveau décret « relatif aux obligations de service et aux missions des personnels enseignants exerçant dans un établissement public local d'enseignement ».

La lettre-pétition du 12 décembre 2013 dont le texte suit reste donc entièrement d'actualité.

Sur ces questions d'importance majeure, en dépit de sa recherche laborieuse, auprès de structures syndicales ou associatives coopérantes, de propositions prétendues tour à tour concrètes, pragmatiques, constructives, c'est-à-dire de concessions supposées légitimer les réformes préparées, le Ministère a dû se contenter au CTM d'une seule et unique voix de majorité.

Les réformes considérées ne sont donc nullement inéluctables. Mais ces réformes, loin de ne constituer que des mesures limitées ou marginales, anéantiraient le concours de l'agrégation et les règles nationales actuellement en vigueur. Leur nocivité justifie une opposition radicale.
Les premiers signataires de cette lettre-pétition, et tous ceux qui les ont rejoints à cette heure, entendent manifester résolument leur refus de considérer comme irréversibles ou inéluctables des réformes dont ils contestent au contraire radicalement le bien-fondé.
Parce que l'agrégation est le modèle des concours nationaux, parce que l'agrégation est l'une des institutions fondatrices de la République, ils défendent les concours nationaux, les règles statutaires nationales, l'organisation nationale de l'Enseignement. Ils dénoncent tout projet qui, sous le prétexte d'une simple réforme de l'agrégation, en conserverait l'appellation mais en dénaturerait le contenu. Ils demandent le maintien intégral de la structure scientifique et disciplinaire de l'agrégation. Ils ne céderont pas.

Pour signer la pétition :

Si vous décidez de signer cette lettre-pétition, je vous remercie de remplir le formulaire en ligne

ou de cliquer sur l'adresse petition.peillon.decembre2013@gmail.com

en indiquant si vous le souhaitez vos titres professionnels (discipline, corps, établissement, ville).

Veuillez préciser également si vous ne souhaitez pas que votre signature soit rendue publique.

Je m'engage à actualiser régulièrement la liste des signataires sur le présent site.

Je m'engage à ne pas communiquer votre adresse électronique


Pierre BLAZEVIC



Le 12 décembre 2013

Monsieur Vincent PEILLON
Ministre de l'Éducation nationale
110 rue de Grenelle
75007 Paris

 

    Monsieur le Ministre,

    Alors que le Ministère de l'éducation nationale venait de fournir aux médias quelques indications sur une «feuille» concernant une éventuelle réforme du concours de l'agrégation, vous êtes personnellement intervenu devant la presse sur la refonte des métiers de l'enseignement ainsi que sur le «classement PISA» pour 2012 connu le 3 décembre 2013. Ce classement, vous avez considéré qu'il confortait la réforme complète de l'école, contenu et rythmes, introduite par la Loi de refondation de l'école de la République.

    Le 8 décembre 2013, à l'occasion de l'émission télévisée C/politique, vous avez défini votre ligne de conduite à l'égard du corps enseignant: «J'essaie, avez-vous déclaré, de dire aux uns et aux autres le respect que j'ai pour eux», «de les entraîner», d'«expliquer» et de «convaincre».

    Nous ne doutons pas de votre respect. Ce respect est réciproque.

    Mais nous croyons qu'un dialogue fructueux ne saurait se contenter ni d'expliquer unilatéralement ni de tenter de convaincre unilatéralement.

    C'est donc avec respect pour votre personne et pour votre fonction, que, comme lauréats du concours de l'agrégation, en activité dans l'enseignement secondaire et dans l'enseignement supérieur, et aussi à la retraite, nous vous disons franchement pourquoi les indications apportées ne sauraient suffire à nous rassurer, et cela justement parce que nous partageons votre souci de transparence, de justice et d'équité.

    Le fait que nous n'abordions pas dans la présente lettre la question du changement que le Conseil supérieur des programmes a prévu d'apporter aux programmes scolaires en les remplaçant par des «curricula» ne signifie pas que nous approuvions cette entreprise. Nous voyons trop bien au contraire en quoi elle déroge à l'engagement républicain, car elle va encore détériorer la maîtrise des connaissances de fond et la capacité du futur citoyen de les organiser en une réflexion autonome.

 
Sur le concours de l'agrégation :

    Nous ne pouvons nous contenter des assurances fournies par le Ministère de l'éducation nationale au Mondedu 22 novembre 2013 selon lesquelles le plan de refonte de l'agrégation, ne constituant qu'un «document interne», issu de vos «Services» et non de votre «Cabinet», ne serait «pas d 'actualité». Outre que rien, si ce n'est une décision publique du Ministre, ne saurait empêcher ce qui n'est «pas d'actualité» de le devenir, nous nous interrogeons sur le degré d'autonomie des «Services» à l'égard du «Cabinet» et du Ministre lui-même. S'il devait se vérifier que des «Services» se sont investis d'une mission ignorée du «Cabinet» et du Ministre lui-même, nous ne pourrions comprendre que leur zèle importun ne fût pas désavoué.

    Nous ne pourrions en effet en aucun cas accepter, sous prétexte de professionnalisation, une minoration de la part des épreuves scientifiques organisées dans les différentes disciplines des différentes sections du concours de l'agrégation. C'est le haut niveau d'exigence scientifique et disciplinaire du concours de l'agrégation qui garantit la valeur de l'enseignement dispensé par les agrégés, et leur adaptabilité à des méthodes pédagogiques qui n'ont cessé de changer depuis des décennies. C'est la nature scientifique et disciplinaire des épreuves du concours de l'agrégation qui garantit la sûreté, l'impartialité et l'équité incomparables de la sélection opérée. C'est la nature scientifique et disciplinaire des épreuves du concours de l'agrégation qui fait de ce concours un concours véritablement ouvert, un concours qui recrute ses lauréats dans tous les milieux dont se compose la société, sans doute l'un des seuls concours parfaitement fidèles à l'article 6 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, qui départage des candidats d'âges très divers, des étudiants, des normaliens, des professeurs certifiés issus du concours externe ou du concours interne, des fonctionnaires d'autres administrations, des militaires, des collaborateurs du secteur privé industriel et commercial, des citoyens français, des ressortissants des pays liés historiquement à la France, des ressortissants de l'Union européenne, ou leurs conjoints qui peuvent être nés dans le monde entier. Soucieux du maintien du caractère scientifique -et donc pédagogique- des épreuves du concours de l'agrégation, nous n'avons pour cette raison jamais pensé que l'instauration de l'épreuve dite «Agir en fonctionnaire de l'État et de façon éthique et responsable» fût une bonne décision, et nous nous sommes inquiétés, dès la publication du projet de la Loi de Refondation de l'École de la République, de l'insistance mise par le Rapport annexé sur la progressivité de la «professionnalisation» des futurs professeurs, car la mise en œuvre de cette doctrine ne peut aboutir qu'à la disparition des concours de recrutement véritablement ouverts, ces concours ne devenant, en pratique, accessibles qu'à des étudiants ayant au préalable suivi un cursus dit «professionnalisé», avec la conséquence, notamment, d'une grave diminution de la mixité sociale de leurs lauréats, et un isolement du corps enseignant dans l'ensemble du corps social.

    Nous vous demandons de nous rassurer. Nous souhaitons que vous nous garantissiez l'abandon de tout projet de réforme du concours de l'agrégation qui y diminuerait la part des épreuves scientifiques, le maintien intégral de sa forme de concours externe, ouvert, fondé exclusivement sur le contrôle de l'acquisition par les candidats de solides connaissances dans leur discipline, leur permettant d'instruire leurs élèves, concours donnant droit à l'attribution d'un poste par l'État à ses lauréats. Nous vous demandons d'accepter de remettre en cause la réforme du CAPES pratiquée à l'occasion de la création des ÉSPÉ. Nous vous demandons de remplacer l'épreuve «Agir en fonctionnaire de l'État et de façon éthique et responsable» par une épreuve scientifique portant sur une discipline d'enseignement.

 
Sur l'attaque lancée contre les statuts et contre les obligations réglementaires de service par la réforme dite «des métiers de l'enseignement» :

    Nous dénonçons l'opacité de la conduite de cette réforme. Nous nous étonnons que, contrairement à la transparence républicaine qui fut de règle lors de la préparation des décrets de 1950, ni le calendrier des rencontres organisées au nom du Ministre, ni la qualité des personnes ou des délégations qu'il a reçues ou fait recevoir, ni les contributions écrites qui lui ont été remises à titre d'observations ou de propositions par des personnalités ou des organisations n'aient été rendues publiques. Nous demandons que cette publicité, pourtant encore mise en œuvre à l'occasion de la consultation préparatoire à la loi n° 2013-595 du 8 juillet 2013, soit ici rétablie et que ces renseignements soient rendus publics.

    Nous soulignons en revanche la parfaite transparence républicaine que garantit la définition par voie réglementaire des statuts des différents corps de professeurs ainsi que de leurs obligations de service.

    Les statuts particuliers sont dans la République française la garantie indispensable de l'indépendance de la transmission du savoir à l'égard de toute pression. Ils sont donc accordés à chaque corps en fonction de la nature des services que ce corps doit rendre à l'enseignement, et ils doivent s'appliquer à chaque membre de ce corps. Nous ne pourrions accepter la remise en cause de l'unité du statut des agrégés, au prix pour eux, d’une perte de toute possibilité de mobilité.

    Nous approuvons en revanche la définition d'obligations de service distinctes selon les situations professionnelles susceptibles d'être occupées par les professeurs régis par le même statut.

    Étant donné que les décrets du 25 mai 1950 définissent les obligations de service des professeurs certifiés et agrégés en maxima hebdomadaires d’heures de cours dans la discipline, la «refonte» de ces décrets lance une agression contre l'ensemble des corps de l'enseignement du second degré.

    Nous dénonçons l'agression délibérée, lancée sous des prétextes fallacieux et démagogiques, contre la situation spécifique des professeurs des classes préparatoires.

    Nous n'accepterons aucune remise en cause d'aucune fraction de rémunération d'aucun des corps concernés par les décrets du 25 mai 1950.

    Nous remarquons qu'aucune proposition n'est faite pour améliorer les conditions d'exercice des professeurs agrégés en exercice dans l'enseignement supérieur, alors que, au printemps 2012, ils recevaient des marques de sollicitude de l'équipe de campagne de Monsieur le Président de la République, et alors que l'«autonomie» des établissements d'enseignement supérieur depuis les lois dites «loi Pécresse» et «loi Fioraso» a gravement détérioré leur situation administrative et financière. Nous demandons que les améliorations nécessaires de certaines situations, telles que celle des professeurs en exercice dans les Zones d’Éducation Prioritaire (ZEP), soient inscrites au budget de l'État, sans aucune détérioration de la situation matérielle des autres membres du corps enseignant.
 

Sur le classement PISA:

Vous avez, Monsieur le Ministre, choisi de recourir à une formule frappante, celle du «choc PISA» voire de l' «électrochoc PISA», qui nous semble relever davantage de la communication que de la discussion rationnelle. C'est pourtant celle-ci que nous attendons de vous, et qu'exige la juste appréciation des conclusions du rapport PISA.

Les conclusions du rapport PISA justifient-elles la poursuite de la mise en œuvre de la loi n° 2013-595 du 8 juillet 2013, ou son abandon ?

Bien loin de nous satisfaire d'une réponse hâtive à cette question, nous demandons un examen patient des observations de première importance sur les acquis des élèves que contient le rapport PISA, et une discussion loyale de leur portée.

À notre connaissance, ce rapport se dispense de la seule comparaison qui eût permis de mesurer les conséquences de l'instauration en 2005 du «socle commun», puisqu'il eût fallu, pour s'en rendre compte, comparer les résultats des élèves qui avaient 15 ans en 2005, avec ceux des élèves qui ont eu 15 ans en 2012. De plus, il ne semble pas que le rapport PISA compare les résultats des élèves de 15 ans soumis à l'enseignement du «socle commun» avec ceux des élèves de 15 ans que leurs parents ont choisi de soustraire à l'école du socle, en étant de plus en plus nombreux à les confier à des établissements qui pratiquent un enseignement enrichi, de sorte que rien ne se révèle plus contraire à la constitution d'un savoir commun entre tous les élèves que le «socle commun».

Nous voyons d'ailleurs dans la publication, à l'échelon national, de programmes exigeants, définis discipline par discipline et bénéficiant d'horaires nationaux, une garantie de la transparence, de la justice et de l'équité qui sont dues à l'ensemble des élèves, et qui permettent d'espérer que chaque élève puisse se hisser au plus haut niveau de connaissances qu'il lui est possible d'atteindre.

Nous dénonçons pour cette raison la réforme des rythmes scolaires, dont le Rapport annexé à la loi de 2013 souligne qu'elle «doit agir comme un levier pour faire évoluer le fonctionnement de l'école autour d'un projet éducatif territorial», à telle enseigne, Monsieur le Ministre, que vous avez salué, depuis plusieurs mois, chaque dispositif imaginé par une municipalité comme «un projet éducatif de territoire».

Nous ne voulons pas de «projets éducatifs de territoires», nous voulons un projet éducatif national, réunissant, dans l'acquisition du savoir correspondant à des programmes nationaux, tous les élèves qui fréquentent l'école française.

Toutes les questions que nous venons d'aborder relèvent depuis très longtemps du plus haut niveau de l'État. Chacun se souvient que c'est par la volonté du Général de Gaulle, alors président de la République, que furent réestimés non seulement les traitements des corps de l'enseignement, mais encore les taux de rémunération des heures supplémentaires-année et des heures de suppléance, aussi bien pour les professeurs du second degré que pour les professeurs des classes préparatoires. Chacun a pu constater ensuite que Monsieur le Président de la République a tenu à donner à ces questions des éléments de réponse pendant sa campagne de 2012.

Nous sommes convaincus que la poursuite des réformes ci-dessus examinées n'aurait d'autre effet que d'aliéner irrémédiablement au premier magistrat de la République la confiance des milliers de professeurs concernés, ainsi que celle de leurs proches et de leurs élèves ou anciens élèves, étudiants ou anciens étudiants.

Nous vous remercions, Monsieur le Ministre, pour l'attention qui aura pu être accordée à ces explications.

    Nous vous présentons, Monsieur le Ministre, la pétition suivante.

 

PÉTITION

 
A.        Parce que le concours national de l'agrégation fondé sur les connaissances disciplinaires, fait partie des institutions fondatrices de la République, parce qu'il garantit la transmission du savoir dans des conditions qui assurent un égal accès des élèves à l'instruction dans tout le territoire national, nous vous demandons la garantie du maintien intégral, sans aucune minoration, des épreuves scientifiques du concours de l’agrégation, concours fondé exclusivement sur l’excellence disciplinaire, et qui doit continuer d'assurer à ses lauréats un poste attribué par l'État. Nous demandons l’abandon de tout projet de réforme de l’agrégation. Nous demandons la renonciation à la réforme 2013 du CAPES.

 
B.        Parce que les classes préparatoires aux grandes écoles dispensent un enseignement gratuit, dont l’équivalent coûte environ Outre-Atlantique vingt à trente mille euros annuels en droits d’inscription, et de plus un enseignement de très haut niveau assuré par des professeurs agrégés, dont le salaire, certes bien supérieur au SMIC, reste cependant assez modeste au regard de leur qualification et du travail fourni, ces classes sont un élément important de l’égalité républicaine. Elles donnent un droit égal à tous les élèves d’accéder à l’excellence. Le développement des bourses d'études permettrait aux étudiants des familles modestes d'y être encore mieux représentés. Porter atteinte à la situation matérielle et morale des professeurs de classes préparatoires, c’est, à travers le niveau d’instruction, participer à la destruction des forces vives de notre pays. Nous vous demandons le maintien intégral des rémunérations et des acquis des professeurs de classes préparatoires, la renonciation à toute atteinte à leurs «obligations réglementaires de service». Nous vous demandons le maintien intégral des décrets du 25 mai 1950, définissant les obligations de service des différents corps en maxima hebdomadaires d’heures d’enseignement dans la discipline, avec toutes les garanties actuelles en matière de décharges et d'heures spécifiques. Nous ne saurions accepter aucune baisse de la rémunération d'aucun membre du corps enseignant.

 
C.        Nous vous demandons que la réforme connue sous le nom d'«école du socle commun» soit remise en cause et que soit reconstituée, dès la classe de sixième, une progression correspondant à un enseignement de second degré. Nous vous demandons l’arrêt de l’application du décret dit des «rythmes scolaires», fauteur de désorganisation, et son abrogation. Nous vous demandons le retour immédiat, dans toutes les écoles maternelles et primaires, à l’école de la République, avec des programmes et des horaires identiques dans tout le territoire, assurés exclusivement par les instituteurs et les professeurs des écoles.



Premiers signataires:


Pierre BLAZEVIC, agrégé de Physique appliquée, professeur à l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, directeur de l'ISTY
 
Anne-Elisabeth ANDRÉASSIAN, professeur agrégée d'Économie et Gestion à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne

François BONFILS, professeur agrégé d'Espagnol à l'Université Toulouse II
 
Jean-François GLOESS, agrégé de Mathématiques, professeur (H)

Geneviève ZEHRINGER, agrégée de Philosophie, professeur (H)

Monique MICHAUD, agrégée d'Espagnol, professeur (H) des universités

Marc HERCEG, agrégé de Philosophie, professeur au Lycée Aubanel d'Avignon

André BASTIAN, agrégé de Mathématiques, professeur (H)

Lauro CAPDEVILA, agrégé d'Espagnol, IA-IPR (H), président de la Société des Langues Néo-Latines

Catherine HEYMANN, agrégée d'Espagnol, professeur des universités à l'Université de Paris-Ouest

Christophe COUDERC, agrégé d'Espagnol, professeur des universités à l'Université de Paris-Ouest

Frédéric ALLARD, certifié d'Espagnol, professeur au collège de Pont-du-Château, chargé de cours à l'université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand

Claudine-Marion ANDRES, agrégée d'Espagnol, professeur au Lycée Talma de Brunoy

Jean-Christian DUMONT, agrégé des Lettres classiques, ancien professeur à l'Université de Paris-X-Nanterre

Robert KINDMANN

Hélène ROUDIER DE LARA, agrégée de Philosophie, professeur au Lycée Fénelon de Paris

Sophie ANGOT, agrégée des Lettres modernes, Université de Valenciennes

Paul DEHEUVELS, agrégé de Mathématiques, professeur à l'UPMC, membre de l'Académie des Sciences

Jean PETIT, agrégé des Lettres classiques, professeur (H) de Chaire supérieure

Francis PENIN, agrégé des Sciences physiques, option Physique appliquée, professeur (H)

Pierre MARÉCHAUX, agrégé des Lettres classiques, Professeur des universités à l'Université de Nantes, Membre de l'Institut universitaire de France, Membre de l'Institut d'études avancées de Nantes

Roland ANDREANI, agrégé d'Histoire, professeur des universités émérite

Patrick LABARTHE, agrégé des Lettres classiques, professeur de littérature française à l'Université de Zurich

Patrick BONNIN, agrégé des Sciences physiques, option Physique appliquée, professeur des universités à l'université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines

Henriette ASSEO, agrégée d'Histoire, professeur agrégée à l'EHESS

Ludovic WAGNER, agrégé des Sciences physiques à METZ- Université de Lorraine

Roger BASTRIOS, agrégé des Lettres modernes, président du Collectif PrAg-PrCe de l'Université de Perpignan Via Domitia

Michel LEROUX, agrégé des Lettres classiques, professeur (H)

Isabelle CASTA, agrégée des Lettres modernes, professeur à l'Université d'Arras

Alain JACQUET, agrégé d'Histoire, professeur au collège de Vittel

Cyrille DEBRIS, agrégé d'Histoire, docteur en Histoire médiévale, docteur en Théologie, professeur au lycée Jehan Angot de Dieppe

Chantal KIRCHER, agrégée de Grammaire, professeur des universités émérite

Nicolas WEILL-PAROT, agrégé d'Histoire, professeur d'histoire médiévale à l'Université de Paris-Est-Créteil

Carine BURET, professeur agrégée d'Anglais à l'Université de technologie de Troyes

Renaud QUILLET, agrégé d'Histoire, docteur, habilité aux fonctions de maître de conférences, professeur agrégé en Histoire à l'Université de Picardie -ÉSPÉ de l'Académie d'Amiens

Michel POUJADE, professeur agrégé d'Économie et Gestion commerciale à l'IUT de Perpignan

B-Marie DELAMARRE, agrégée de Philosophie, professeur au Lycée Victor Duruy de Paris (HK et KH Lyon)

Jean-Baptiste BONNARD, maître de conférences en Histoire grecque à l'Université de Caen

Sylvie-Laure BEAUTHIER, agrégée des Lettres classiques, professeur (H) de Chaire supérieure

Jean-Noël GAUDY, agrégé des Lettres modernes, professeur au lycée Magendie de Bordeaux

Catherine BANNIARD, agrégée des Lettres classiques, professeur (H)

Anne-Marie GOUIFFES, professeur agrégée, docteur en musicologie

Francis COURTY, agrégé des Sciences physiques, professeur agrégé à l'Université Paul Verlaine de Metz

Alice MENNESSON, agrégée de Philosophie, professeur au Lycée Victor Duruy de Paris

Gérard LOBOT, agrégé des Sciences naturelles, Proviseur (H) du Lycée Condorcet de Paris

Jean-Pierre ZEHRINGER, agrégé de Physique appliquée, professeur (H)

Jean HAPPEL, agrégé des Lettres classiques, professeur (H)

Yves GUITSCHULA, agrégé de Génie mécanique, ancien élève de l'ENS de Cachan, victime de la carte scolaire, TZR dans l'Académie de Nantes

Jean-Paul BRACHET, agrégé de Grammaire, maître de conférences à l'Université de Paris-IV

Anne-Marie DESJARDINS-MUNDREUIL, agrégée des Lettres classiques, professeur (H)

Daniel DESJARDINS, agrégé des Lettres classiques, professeur (H)

Jean-Jacques SCHINZING, agrégé de Géographie, professeur (H) de Chaire supérieure, chevalier des palmes académiques

Dominique GUILLOU, agrégée des Lettres classiques, professeur en CPGE au Lycée Victor Duruy de Paris

Sophie ALAUX, agrégée d'Arts plastiques, professeur

Marie-Ange BONHÊME, agrégée d'Histoire et Géographie, maître de conférences (H) à l'Université de Paris-IV

Line TEBOUL-ROQUES, agrégée des Lettres modernes, professeur au lycée Maurice Utrillo de Stains

Hélène PIGNOT, agrégée d'Anglais, normalienne, maître de conférences d'Anglais à l'Université de Paris I Panthéon Sorbonne

François LAFON, agrégé d'Histoire, maître de conférences HDR d'Histoire à l'Université de Paris I Panthéon Sorbonne

Anne-Laure TOROSSIAN, étudiante à l'EM de Lyon

Benoît NEISS, agrégé de Lettres classiques, professeur émérite à l'Université de Strasbourg, Directeur (H) de l'Institut de Littérature

Sylvie HUGUET, agrégée de Lettres classiques, écrivain

Rosemonde HAUREZ, agrégée d'Histoire et Géographie, professeur (H)

Claude DARRAS, agrégé hors-classe d'Arts plastiques, professeur au lycée Pierre Mendès-France de Savigny le Temple

Régine BOURDON, agrégée d'Arts plastiques, professeur en lycée CLAIR à Saint-Denis

Pierre BESSES, agrégé d'Anglais, professeur des universités (H)

Jean-Clair GIRAUD, ancien élève de l'ENS, agrégé de Lettres classiques, professeur de Chaire supérieure à Poitiers

Jacques LAUGA, agrégé de Sciences de la Vie et de la Terre, professeur honoraire des Universités, Président du Capes externe de SVT 1998-2001

Emmanuel DI MAMBRO, agrégé de Physique appliquée, docteur en Physique, ingénieur diplômé

Henri SUHAMY, agrégé d'Anglais, professeur (H)

Patrick DANDREY, Professeur (c.e.) de littérature française du XVII° siècle à l'Université Paris-Sorbonne, Membre de l'Académie des arts, lettres et sciences humaines de la Société Royale du Canada, Président des Amis de Jean de La Fontaine

Gérard DUTRUGE, agrégé de Sciences naturelles, professeur de Chaire supérieure en CPGE, Lycée Claude Fauriel de Saint-Étienne

Thibault PELLETIER, agrégé de Chimie, professeur au Lycée Camille Guérin de Poitiers

Daniel DJAMENT, agrégé de Mathématiques, professeur (H)

Paul JACQUET, agrégé de Sciences de la Vie et de la Terre, professeur de Chaire supérieure (H)

Jean COUPRIE, agrégé de Mathématiques, professeur (H)

Anne RAVAILLE, agrégée de Sciences physiques option Chimie, professeur au lycée Jean Moulin à Béziers

Stéphane LARCHÉ, agrégé des Lettres classiques

Patrice DUJARDIN, agrégé de Biochimie-Génie biologique, professeur au lycée Jean Rostand de Strasbourg

Isabelle QUINOT, agrégée de Sciences physiques, option Chimie, professeur en CPGE à Poitiers

Philippe RAYNAUD, professeur de Philosophie politique à l'Université Paris II Panthéon-Assas, Membre de l'Institut Universitaire de France

Thierry SPINOSA, certifié de Mathématiques, Université de Perpignan Via Domitia

Dominique DUBOIS, agrégé d'Histoire, professeur au collège Les Petits Sentiers de Lucé

Emmanuel SIBILLE, agrégé, docteur en Mathématiques, ingénieur (ER) maîtrise d'œuvre de grands programmes aéronautiques internationaux, professeur (H) à l'ENSICAEN

Sylvie BALLESTRA-PUECH, agrégée de Lettres classiques, professeur de Littérature comparée à l'Université de Nice

Pierre AIMÉ, agrégé de Mathématiques, docteur ès-sciences

Alain TASSEL, agrégé de Lettres modernes, professeur de Littérature française à l'Université de Nice Sophia Antipolis, Doyen de la Faculté des lettres, Arts et Sciences Humaines de l'Université de Nice Sophia Antipolis

Elisabeth PINTO-MATHIEU, agrégée de Lettres modernes, Professeur des universités

Anne CARTIER-VERHULST, agrégée de Sciences physiques, professeur à l'IUT de Vélizy

Denis MONHARDT, agrégé d'Histoire, professeur à Munster

Rodolphe DUMOUCH, agrégé des Sciences de la Vie, de la Terre et de l'Univers, professeur au lycée Jean Moulin à Revin

Lionel ARNAUD, agrégé de Mécanique, maître de conférences à l'ENI de Tarbes

Thierry DUPONT, agrégé de Lettres modernes, professeur à l'IUT de l'Université de Nancy II

François SAYET, agrégé de Sciences physiques, option Chimie, professeur en BCPST-2 à Poitiers

Denise HERRENSCHMIDT, agrégée d'Histoire et Géographie, professeur (H)

Dominique AVON, agrégé d'Histoire, professeur des universités à l'Université du Mans

Ariane EISSEN, agrégée de Lettres classiques, maître de conférences HDR en Littérature comparée à l'Université de Poitiers

Christian JOANS, agrégé d'Anglais, professeur en CPGE au lycée Kléber de Strasbourg

Christiane-Elisabeth MEYER, agrégée de Sciences naturelles, professeur au Gymnase Jean Sturm de Strasbourg

Patrick GUICHET, agrégé de Lettres modernes, professeur au lycée Alain Colas de Nevers

Marie-Françoise BARBIER-COLLÉ, agrégée de Lettres classiques, professeur (H)

Benoît ÉBLÉ, agrégé de Sciences physiques, maître de conférences à l'Institut des Nanosciences de Paris, Université Pierre et Marie Curie

Jean-Didier ZANOS, agrégé de Mathématiques

Xavier BONIFACE, agrégé d'Histoire, professeur des universités à l'Université du Littoral Côte d'Opale

Gisèle BESSON, agrégée de Grammaire, maître de conférences à l'ENS de Lyon

Geneviève COLLÉ-BETZ, Directrice d'école Honoraire

François GUÉRIN, agrégé de Génie électrique (Électronique), maître de conférences (Électronique, Automatique) à l'IUT de l'Université du Havre

Hélène BABY, agrégée de Lettres modernes, professeur des universités à l'Université de Nice Sophia Antipolis

Dominique VOISIN, agrégé de Lettres classiques, maître de conférences de Latin à l'Université de Nice Sophia Antipolis

Damien FRAMERY, agrégé de Géographie à Poitiers

Ilias YOCARIS, maître de conférences HDR en Littérature française à l'Université de Nice Sophia Antipolis

Marie-Catherine OLIVI, agrégée de Lettres classiques, professeur agrégé de Lettres classiques à l'Université de Nice Sophia Antipolis

Christel MULLER, agrégée de Grammaire, professeur des universités à l'Université de Paris-Ouest Nanterre

Cyrille AILLET, maître de conférences en Histoire à l'Université Lumière Lyon II

Nicolas PUECH, agrégé de Mathématiques, docteur et HDR en Informatique, professeur en CPGE au Lycée International de Valbonne

Géraldine DJAMENT-TRAN, agrégée de Géographie, maître de conférences à l'Université de Strasbourg

Bohdana LIBROVA, maître de conférences en Lettres modernes à l'Université de Nice Sophia Antipolis

Michèle BIRAUD, professeur des universités à l'Université de Nice Sophia Antipolis, Membre senior de l'Institut Universitaire de France

Avi BENZEKRI, agrégé de Mathématiques, professeur au lycée Montesquieu d'Herblay

Catherine HAMAN-DHERSIN, agrégée de Lettres classiques, docteur ès Lettres, professeur agrégé à l'Université du Littoral Côte d'Opale

ANONYMAT DEMANDÉ, agrégée de Lettres classiques, professeur dans l'Académie d'Orléans-Tours

Sophie CARIOU, agrégée de Lettres classiques, professeur au lycée Marguerite de Navarre de Bourges

Jean-Igor GHIDINA, agrégé d'Italien, docteur en Littérature italienne, maître de conférences à l'Université Blaise Pascal - Clermont-Ferrand II

Dominique ARNOULD, agrégée de Lettres classiques, docteur d'Etat, professeur de Grec à l'Université de Paris IV - Sorbonne

Louis GOUBIN, agrégé de Mathématiques, professeur des universités à l'Université de Versailles - Saint-Quentin-en-Yvelines

Armand JAMME, agrégé d'Histoire, Directeur de recherches au CNRS

Étienne SCHNITZLER, agrégé d'Économie et Gestion, professeur agrégé à l'ENSISA de Mulhouse

Michel THÉBAULT, agrégé d'Anglais, ancien élève de l'ENS de Saint-Cloud, professeur de Chaire supérieure au lycée Hoche de Versailles

Jean-Robert GÉRARD, agrégé d'Anglais, maître de conférences à l'Université de Haute Alsace à Mulhouse

Alice DE GEORGES MÉTRAL, maître de conférences en Littérature à l'Université de Nice Sophia Antipolis

Véronique CHERBUY, agrégée d'Histoire, professeur au lycée Jules Verne de Nantes

Suzel ESQUIER, agrégée de Lettres modernes, docteur de l'Université de Paris IV Sorbonne

Mireille KO, agrégée de Lettres classiques, professeur (H), auteur des manuels Lire le latin, Lire le grec et du Bled latin

Cécile VALLÉE, agrégée d'Anglais, maître de conférences à l'Université de Rouen

Stéphanie ADJALIAN-CHAMPEAU, agrégée de Lettres modernes, maître de conférences en Littérature à l'Université de Rouen

Françoise BERNERON-COUVENHES, agrégée d'Histoire, docteur en Histoire, professeur de Chaire supérieure en CPGE ECS au lycée Dupuy de Lôme à Lorient

Anita LAVERNHE-GROSSET, agrégée de Lettres modernes, professeur (h), ancien membre de l'équipe de préparation au CAPES et chercheur-assistant au Laboratoire HLLI Modalités du Fictionnel à l'Université du Littoral Côte d'Opale

Bénédicte BOURES, Toulouse

Georgette Andrée BLETTERY, agrégée d'Anglais, professeur (H) au lycée Édouard Herriot de Lyon

Claudette BADOLLE, certifiée d'Histoire et Géographie, professeur (H)

Marie-José HANAÏ, agrégée d'Espagnol, professeur des Universités à l'Université de Rouen

Léonard SIBILLE, ancien élève de l'Ecole Polytechnique, Master of Science de l'Université de Stanford

Bernard-Gianfrancesco MINEO, Professeur de Langue et Littérature latines à l'Université de Nantes, Professeur agrégé de Lettres Classiques, Membre du Conseil National des Universités (8e section), Chevalier des Palmes Académiques

Bernard MAGNERON, agrégé de Mathématiques, maître de conférences (H) à l'Université de Paris XIII Villetaneuse

Iris CHIONNE, agrégée d'Italien, maître de conférences à l'Université de Nantes

Olivier GOUBET, agrégé de Mathématiques, professeur des universités à l'Université de Picardie Jules Verne

Line GLON-SANSON, agrégée d'Anglais, professeur agrégé à l'Université de Nantes

Ivan MENY, agrégé de Génie électrique, professeur agrégé à l'Université de Rouen

Thierry GLON, agrégé de Lettres modernes, ancien élève de l'ENS de Saint-Cloud, maître de conférences à l'Université de Nantes

Pierre ZEMBRI, agrégé de Géographie, professeur des universités à l'Université Paris-Est Marne-la-Vallée

Arnaud ZUCKER, professeur des universités en Littérature grecque à l'Université de Nice Sophia Antipolis

Michel TZIGANKOFF, agrégé de Mathématiques, professeur (H)

Charles VIANEY, agrégé de Sciences physiques, professeur (H)

Jean-Pierre BARROIS, agrégé d'Anglais, maître de conférences (H) de l'Université de Paris XII

Colette WINDISH-FOUCHER, agrégée d'Anglais, professeur (H)

Jean-Paul VINCENT, agrégé de Mathématiques, professeur (H)

Nadine TRABUJO, agrégée de Sciences physiques, professeur au lycée Chateaubriand de Rennes

Eric TOURRETTE, professeur agrégé de Lettres modernes à l'Université Jean Moulin - Lyon 3

Anne-Marie VALLI-ALLESIARDI, agrégée d'Italien, professeur (H)

François TROUILLET, agrégé de Grammaire, maître de conférences (H) à l'Université de Poitiers

Carine BARBAFIERI, agrégée de Lettres modernes, maître de conférences en Littérature française du XVII ème siècle à l'Université de Valenciennes

Jean-Marc VERGÉ-BORDEROLLE, agrégé de Grammaire, professeur au lycée Montaigne de Bordeaux

Françoise BASTIER, agrégée de Mathématiques, professeur (H)

Michel TROUGNOU, agrégé de Lettres classiques, professeur au collège du Jardin des Plantes à Poitiers

Jacques VERRIÈRE, agrégé de Géographie, professeur (H)

Jean VADOT, agrégé de Sciences physiques, professeur (H)

Michel VOLATRON, agrégé d'Histoire, professeur (H)

Charles VENET, agrégé d'Espagnol, professeur (H)

Marie-Josèphe VENET, agrégée d'Espagnol, professeur (H)

Romain MAGRAS, agrégé d'Espagnol, docteur en Littérature Latino-Américaine, maître de conférences d'espagnol à l'Université de Rouen

Gilles MONTIGNY, agrégé de Sciences sociales, professeur de Chaire supérieure au lycée Hoche de Versailles

Paule LÉVY, agrégée d'Anglais, thèse de doctorat consacrée à Sauvagerie et culture dans l'oeuvre romanesque de Saul Bellow, professeur de Littérature américaine à l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines

Isabelle BASTIER, médecin spécialiste

Jacques FIGIER, agrégé de Biologie 1961 (1er), professeur des universités (H) de 1ère classe

François MOUREAU, professeur émérite des universités en Littérature française à l'Université de Paris-Sorbonne

Benoît GAIN, professeur émérite des universités en Latin à l'Université Stendhal Grenoble III

Philippe MÉNARD, professeur des universités en Langue et Littérature médiévales françaises à l'Université de Paris-Sorbonne

Vincent ROBIN, professeur agrégé de Mathématiques à l'Université de Technologie de Compiègne

Jean-René VALETTE, ancien élève de l'École Normale Supérieure, professeur des universités en Littérature du Moyen Âge à l'Université Paris X

Pierre DANNER, agrégé d'Économie et Gestion, professeur au lycée Fulbert de Chartres

Jean-Claude LABORIE, agrégé d'Anglais, professeur (H)

Olivier MILLET, professeur des universités en Littérature française à l'Université de Paris-Sorbonne

Jean-Philippe JOUVENOT : "titulaire d'une licence de Mathématiques, cadre SNCF depuis vingt ans, père de trois enfants scolarisés au collège et au lycée, j'ai pu constater la dévalorisation de nos diplômes et la baisse du niveau de nos enseignements du CP aux CPGE; les CAPES ont déjà été touchés par cet état de fait; je refuse qu'il en soit ainsi pour les agrégations".

Nicolas ESCACH, agrégé de Géographie, ATER à l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines

Gérard LAUREAU, agrégé de Lettres classiques, professeur (H)

Gilbert MAGNUS, agrégé de l'Université (en Allemand), maître de conférences à l'Université Charles de Gaulle Lille III

Guyonne LEDUC, ancienne élève de l'École Normale Supérieure, professeur des universités à l'Université Charles de Gaulle Lille III, présidente de la Société d'Etudes Anglo-Américaines des XVIIème et XVIIIème siècles

Nanine CHARBONNEL, agrégée de Philosophie, professeur des universités à l'Université de Strasbourg

Anne-Cécile VAUTHIER, agrégée de Mathématiques

Cathy-Anne WENDLING, professeur agrégé d'Anglais à l'Université de Strasbourg, psychologue clinicienne

Jean-Luc DAGUT, professeur agrégé des Sciences Économiques et Sociales à l'Université Charles de Gaulle Lille III

Pierre LACROIX, agrégé de Lettres classiques, professeur à Aurillac

Delphine DENIS, UFR de Langue française, Directrice-adjointe de l'Ecole doctorale V, Pr.Déléguée adjointe à la Recherche Sorbonne Universités

Évelyne SAMAMA, ancienne élève de l'École Normale Supérieure, agrégée de Grammaire, professeur d'Histoire ancienne à l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines

Diana LEDOUX, ancienne étudiante de CPGE au lycée Michelet à Vanves, Gestionnaire Risques et Assurance, Groupe REXEL

Stephan FAUVE, ancien élève de l'École Normale Supérieure, agrégé de Sciences physiques, professeur à l'Ecole Normale Supérieure, Membre de l'Académie des Sciences

Olivier SOUTET, ancien élève de l'École Normale Supérieure, agrégé de l'Université, professeur des universités à l'Université de Paris-Sorbonne, Correspondant de l'Institut

Jean-René TROCHET, professeur des universités à l'Université de Paris-Sorbonne

Delphine REGUIG, agrégée de Lettres modernes, maître de conférences à l'Université de Paris-Sorbonne

Laurent VISSIÈRE, maître de conférences en Histoire médiévale à l'Université de Paris-Sorbonne

Pierre-Dominique TOUPANCE, agrégé d'Histoire, professeur (H)

Valérie NAAS, agrégée de Lettres classiques, maître de conférences de Latin à l'Université de Paris-Sorbonne

Henri TONNET, professeur des universités émérite de Grec moderne à l'Université de Paris-Sorbonne

Danielle PERROT-CORPET, normalienne, agrégée de Lettres modernes, ancien membre du jury de l'agrégation externe de Lettres modernes, maître de conférences à l'Université de Paris-Sorbonne

Anne CHAGNY, agrégée des Sciences de la Vie et de la Terre, professeur (H)

Natalie ROULON, agrégée d'Anglais à l'Université de Strasbourg

Patrick LELEU, professeur agrégé d'Economie et Gestion, ancien directeur de l'IAE de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis

ANONYMAT DEMANDÉ, professeur agrégé dans le second degré

Françoise MEIGNANT, agrégée de Musique, Paris

Martine VESSIERE-PABLO, agrégée de Mathématiques, IA-IPR de Mathématiques, Versailles

Jacqueline MIRANDOLA-BOLOMIER, agrégée d'Anglais, professeur au Lycée Hyacinthe Friant de Poligny

Catherine TAYEB-MOUREN, agrégée de Sciences physiques, professeur au Lycée Antonin Artaud de Marseille

Pierre YVERNAULT, agrégé d'Histoire et Géographie, professeur (H)

Thérèse LENAIN, agrégée des Sciences de la Vie et de la Terre, professeur (H)

Marie-Françoise MAREIN, agrégée de Grammaire, maître de conférences de Grec à l'Université de Pau et des Pays de l'Adour

Isabel IBANES, professeur des universités au Département d'Etudes Ibériques et Ibéro-Américaines de l'Université de Pau et des Pays de l'Adour, membre du Laboratoire de l'Arc Atlantique

Hélène GODDERIS-TOUDIC, agrégée et docteur en Littérature contemporaine à l'Université de Rouen

Claudie MARTIN-ULRICH, maître de conférences en Littérature de la Renaissance à l'Université de Pau et des Pays de l'Adour

Stephan ETCHARRY, agrégé de Musique, musicologue, maître de conférences à l'Université de Reims Champagne-Ardenne

Agnès ISNEL-BERTHOLIER, agrégée d'Allemand, professeur à la Cité Scolaire Internationale Europole de Grenoble

Joëlle DUCOS, professeur de Français Médiéval à l'Université de Paris-Sorbonne

Marieke MULLER-STEIN, agrégée de Lettres modernes, maître de conférences en Sciences de l'information et de la Communication à lUniversité de Lorraine, IUT de Metz

Mireille GRANDVAL, agrégée de Grammaire

Régis HÉLIE, professeur agrégé d'Espagnol à l'Université de Rouen

Mariella COLIN, professeur des universités en Littérature et Civilisation Italiennes à l'Université de Caen-Basse-Normandie

Perle ABBRUGIATI, ancienne élève de l'École Normale Supérieure de Fontenay-Saint-Cloud, agrégée d'Italien, professeur des universités à l'Université de Provence

Oreste SACCHELLI, professeur des universités émérite de l'Université de Nancy II

Gilles FERRÉOL, agrégé des Sciences sociales, professeur des universités à l'Université de Franche-Comté

Jean-Louis GIRARD, maître de conférences (H) à l'Université de Strasbourg

Jean-Luc NARDONE, professeur des universités à l'Université de Toulouse II, président du jury du CAPES externe d'Italien

Cécile TERREAUX-SCOTTO, ancienne élève de l'École Normale Supérieure de Fontenay-Saint-Cloud, agrégée d'Italien, maître de conférences à l'Université Stendhal-Grenoble III

Liliane BOYANCÉ (H)

Monique WILMET-PÉRY, agrégée d'Allemand, professeur (H)

Laurent LOTY, chercheur au CNRS, ancien enseignant dans le Secondaire et à l'Université

Claude CHAMPION-TERREAUX, professeur de lettres classiques

Annick PETERS-CUSTOT, ancienne élève de l'École Normale Supérieure Ulm, agrégée d'Histoire, maître de conférences HDR en Histoire médiévale à l'Université Jean-Monnet de Saint-Etienne

Delphine VIELLARD, agrégée de Lettres classiques, docteur ès Lettres

Michèle COURY, agrégée de l'Université (en Italien), maître de conférences à l'Université Stendhal - Grenoble III

Alessandro GIACONE, ancien élève de l'École Normale Supérieure, agrégé d'Histoire, maître de conférences à l'Université Stendhal - Grenoble III

Brahim KHEZZOUM, professeur agrégé de Mathématiques

Guillaume COQUI, ancien élève de l'École Normale Supérieure de la rue d'Ulm, agrégé et docteur en philosophie, chercheur associé au Centre Léon Chevrier, chargé de cours à l'Université de Bourgogne

Anne ALIROL, enseignante

Fabien COLETTI, agrégé d'Italien

Dominique FRATANI, agrégée et maître de conférences à l'Université Bordeaux III - Michel de Montaigne

Lise BOSSI, agrégée d'Italien, maître de conférences à l'UFR d'Études Italiennes de l'Université de Paris-Sorbonne

Marguerite SACERDOT, ancienne élève de l'École Normale Supérieure de Sèvres, agrégée de Mathématiques, professeur (H) en classes préparatoires au lycée François Ier de Fontainebleau

Stéphane MACÉ, ancien élève de l'École Normale Supérieure de la rue d'Ulm, professeur des universités (Langue et Littérature françaises XVIe-XVIIe siècles) à l'Université Stendhal - Grenoble III, membre de l'Institut Universitaire de France

Julie GALLEGO, agrégée de Grammaire, mâitre de conférences en Latin à l'Université de Pau et des Pays de l'Adour

Michel SAÜQUÈRE, professeur certifié (HC)

Patrick MULA, agrégé d'Italien, maître de conférences à l'Université Stendhal-Grenoble III

Caroline ANTONIOL-HUET, agrégée de Sciences physiques, option Chimie, professeur en classe préparatoire au lycée Vaucanson de Tours

Sophie SALVIATI, agrégée d'Italien, docteur

Manon COUDERC, professeur certifié en exercice

Marc KRAEMER, agrégé de Lettres classiques, professeur (H)

Michel AURIGNY, agrégé de Mathématiques, professeur (H)

Jean-Paul ARTIGUES, agrégé de Mathématiques, professeur en CPGE (H)

Bernard LEGRAS, professeur d'Histoire grecque, vice-président (CFVU - Conseil Académique) de l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne

Michèle BRANGER, agrégée de Grammaire (qui a obtenu l'agrégation en 1982 grâce aux cours du CNED, pendant mon année de stage de professeur certifié), professeur de Lettres classiques en CPGE au lycée Guez de Balzac à  Angoulême

Eve-Marie TISSOT-FAVRE, agrégée de Sciences naturelles

Marie-Noëlle ÉCHELARD, agrégée de Philosophie

Georges ESTRAGNAT, agrégé des Sciences de la Vie et de la Terre, professeur (H)

Anne-Marie O'CONNELL, agrégée d'Anglais, maître de conférences en Anglais et Philosphie du Droit anglophone au DLC, Laboratoire LAIRDIL, recherche didactique des langues, études irlandaises, Université Toulouse I Capitole

Patrick OSTELLARI, agrégé et docteur en Mathématiques, professeur agrégé à l'Université du Littoral Côte d'Opale
 
Éliane ZUNINO-ALLIBERT, agrégée d'Italien, professeur  (H)

Paulette AUNE, agrégée de Lettres classiques, professeur (H) au lycée Montgrand de Marseille et conseillère pédagogique

Françoise TOUTAIN-MENVIELLE, agrégée d'Anglais, professeur (H)

Ghislaine ALLOIX-JUILLARD, agrégée d'Anglais

Angelika OLIVIER, agrégée d'Allemand, professeur au lycée Gustave Flaubert de Rouen

Nicole OSMONT-MARX, agrégée d'Anglais, professeur au lycée Amiral Ronarc'h de Brest

Isabelle GUGLIERMINA, agrégée de Lettres classiques, docteur en Grec, professeur au lycée Albert Theuriet de Civray

Jacques ALDEBERT, agrégé d'Histoire, professeur (H)

Yvette ANGER-TALLEGAS, agrégée de Lettres modernes, professeur (H)

Monique ANTONIOTTI, agrégée d'Histoire-Géographie, professeur (H)

Claire OMBRE, agrégée de Lettres classiques, professeur (H)

Pierre-Marie DELPU, ancien élève de l'École Normale Supérieure, agrégé d'Histoire, enseignant à l'Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Laurent KADDOUR, agrégé de Philosophie, professeur au lycée Jean Vigo de Millau

Annick AZERHAD, agrégée de Lettres modernes, professeur au lycée Georges Brassens à Paris

Bruno KARR, agrégé de Mathématiques, professeur au lycée Georges de La Tour à Metz

Annick ALLIX, agrégée de Philosophie

Anne BERNARD, agrégée de Portugais, professeur (H)

Arnaud PASCAL, agrégé de Mathématiques, professeur au lycée Auguste Renoir de Cagnes-sur-Mer

Annie QUEMENER-JÉROME, agrégée de Sciences physiques, professeur au lycée Félix Faure de Beauvais

Christian LEBLOND, ancien élève de l'École Normale Supérieure de Fontenay-saint-Cloud, agrégé d'Anglais, maître de conférences à l'Université Stendhal Grenoble 3

Séverine SIMON, enseignante

Simone PELLERIN, agrégée d'Anglais, professeur des universités en Littérature Américaine à l'Université Paul Valéry Montpellier 3

Henri LEMARE, agrégé d'Anglais

Elisabeth MULLER, maître de conférences à l'Université de Nantes

Isabelle BOUR, agrégée d'Anglais, professeur des universités à l'Université de la Sorbonne Nouvelle paris 3

Jean-Paul RÉVAUGER, professeur des universités à l'Université Michel Montaigne de Bordeaux

Gisela THIERS, professeur de Chaire supérieure au lycée Henri IV de Paris

Christine FAVIER, agrégée d'Anglais, professeur en CPGE au lycée Condorcet de Paris

Claude LAFORTUNE, agrégé de Génie Civil, professeur au lycée Gustave Eiffel de Gagny

Michèle LARDY, agrégée d'Anglais, maître de conférences à l'Université Paris1 Panthéon Sorbonne

Maryse PALEVODY, agrégée, professeur

Céline LOCHOT, agrégée d'Anglais, professeur agrégée à l'Université de Lille 2

Jean-Jacques DELFOUR, ancien élève de l'École Normale Supérieure de Saint-Cloud, agrégé de Philosophie, professeur de Philosophie en CPGE, enseignant de Culture Générale à l'Université Capitole Toulouse 1

François PORTIER, agrégé d'Anglais, docteur HDR, professeur au lycée privé Stanislas de Paris

sandrine ORIEZ, maître de conférences en Linguistique Anglaise à l'Université de Rennes 2

Hadi RISK, professeur de Chaire supérieure en Philosophie au lycée Henri IV de Paris

Frédéric MUNIER, agrégé d'Histoire, professeur

Geneviève GIRARD-GILLET, agrégée d'Anglais, professeur des universités émérite à l'Université de la Sorbonne Nnouvelle paris 3

Christelle LACASSAIN-LAGOIN, maître de conférences à l'Université de Pau

Marcelle HENDERSON-PEAL, agrégée d'Anglais, professeur agrégée à l'Université de Paris Est Créteil

Sabine MICHELON, agrégée d'Anglais, professeur agrégée à  l'Université de Paris Descartes

Adolphe HABERER, professeur des universités émérite en Littérature Anglaise à l'Université de Lyon 2, Ancien Président de la Société des Anglicistes de l'Enseignement Supérieur (SAES), Ancien Président de l'European Society for the Study of English (ESSE)

Marc FRYD, 11ème section (Anglis), maître de conférences -HDR à l'Université de Poitiers

Evelyne CAUVIN, professeur certifiée d'Anglais à l'Université de Picardie Jules Verne

Francis GUINLE, agrégé d'Anglis, professeur (H) frds universités

François VERGNE, agrégé d'Anglais, maître de conférences à l'Université de la Sorbonne nouvelle Paris 3

Isabelle GÉRARDIN, agrégée d'Anglais, professeur en CPGE au lycée Moissan de Meaux

Pierre DUBOIS, professeur des universités émérite à l'Université de Tours

Nicolas BOILEAU, agrégé d'Anglais, maître de conférences en anglais à l'Université d'Aix-marseille
 
Isabelle ALPHANDARY, professeur des universités en Littérature Américaine  l'Université de la Sorbonne nouvelle Paris 3

Jean-Louis GRILLOU, agrégé d'Anglais, docteur ès Lettres (docteur d'État), professeur des universités (H)

Blaise DOUGLAS, maître de conférences

Françoise BUISSON, agrégée d'Anglais, maître de conférences en Etudes Anglophones à l'Université de Pau

François BROSSE, professeur agrégé

Evelyne d'AUZAC, agrégée d'Anglais, professeur des universités (H)

Nathalie CROS, agrégée de Lettres Classiques, professeur

Dominique DELMAIRE, agrégé d'Anglais, maître de conférences à l'Université Louis Lumière Lyon 2

Saad TALATA, agrégé de Génie Électrique

Nathalie ZIMPFER, agrégée, docteur en Littérature Anglaise, professeur en CPGE littéraires

Michèle VIGNAUX, ancienne élève de l'École Normale Supérieure d'Ulm-Sèvres, agrégée d'Anglais, professeur des universités à l'Université Louis Lumière Lyon2

Hélène MACHINAL, agrégée d'Anglais, professeur des universités à l'Université de Brest

Stéphanie NOIRARD, agrégée d'Anglais, maître de conférences à l'Université de Poitiers

Didier ARNAUD, agrégé d'Anglais, professeur émérite des universités à l'Université d'Angers

Anne LE GUELLEC, maître de conférences d'Anglais à l'Université de Brest

Gilbert BONIFAS, agrégé d'Anglais, professeur émérite des Universités

Henri DUREL, ancien élève de l'École Normale Supérieure, licencié en Lettres Classiques, ancien pensionnaire de la Fondation Thiers, M.A.Oxon, diplômé de lIEP, docteur d'État, professeur des universités émérite  l'Université de Toulouse 2 Le Mirail

Philippe BRILLET, agrégé d'Anglais, docteur en médecine et en Géographie, maître de conférences à l'Université de Toulouse 2 Le Mirail

John MULLEN, maître de conférences HDR à l'Université de Paris Est Créteil

Anne LECROART, agrégée d'Anglais, professeur des universités à l'Université de Rennes 1

Timothy HERON, agrégé d'Anglais, professeur agrégé à l'Université de Reims

Annick DRÖESDAL-LE VILLAIN, agrégée d'Anglais, professeur agrégée à l'Université de Strasbourg

Anne-Marie PAQUET-DEYRIS, professeur des universités

Delphine CINGAL, agrégée d'Anglais, maître de conférences, chevalier des Arts et des Lettres

Marie Nadia KARSKI, agrégée d'Anglais, maître de conférences à l'Université de Paris 8

Pascal BATAILLARD, maître de conférences à l'Université Louis Lumière Lyon 2

Michel POUYMAYOU, agrégé de Mécanique, professeur en CPGE filière PSI au lycée Loritz de Nancy

Nathalie MARTINIÈRE, agrégée d'Anglais, professeur des universités à l'Université de Limoges

Nicole GUELFI, agrégée de Mathématiques, professeur au collège Plan-de-Castellet

Chantal MORELLE, professeur agrégé d'Histoire

Jérôme BEAUMONT, agrégé de Lettres classiques, professeur au lycée Clément Marot de Cahors

Pascale NATORP, agrégée de Lettres classiques, professeur au lycée Molière à Paris

Alain VAUCHELLES, agrégé de Lettres Modernes, professeur (H)

Olivier DANTHON, agrégé de Mathématiques, professeur au lycée Pierre Brossolette de Villeurbanne

François MIGEVANT, agrégé de Grammaire, professeur en CPGE au lycée Aristide Briand de Saint-Nazaire